Qui était vraiment Maryline Leymergie (née Robin), cette brune aux yeux bleus aussi discrète qu’essentielle? Derrière William Leymergie, elle a incarné pendant 45 ans le soutien indéfectible : mère dévouée de Géry, Sacha et Anna, femme de l’ombre au verbe rare mais juste, et passionnée de sculpture qu’elle a embrassée dans les années 2000. C’est aussi elle qui a encouragé l’animateur lors de son virage vers C8. Disparue en juin 2020, Maryline laisse le souvenir d’un amour solide, d’un talent feutré et d’une élégance qui ne faisait jamais de bruit.
Discrète et lumineuse, Maryline Robin — plus connue sous le nom de Maryline Leymergie — a été le pilier de la vie de l’animateur William Leymergie pendant près de 45 ans. Femme de l’ombre au tempérament apaisant, elle a construit une vie de famille solide tout en nourrissant une passion tardive mais profonde pour la sculpture. Un secret bien gardé qui révèle une personnalité sensible, exigeante et résolument créative. Rencontrée au début des années 1970, Maryline séduit par sa présence calme et son intelligence vive. Mariés en 1975, ils fondent une famille avec trois enfants — Géry, Sacha et Anna. Longtemps dédiée à l’éducation de leurs enfants, elle s’ouvre ensuite à sa grande passion : la sculpture, qu’elle apprend et pratique avec sérieux dès les années 2000. À ses côtés, William ne cache pas son admiration, au point d’envisager de devenir son agent pour l’aider à exposer ses œuvres. En 2017, lorsqu’il rejoint C8, elle l’encourage sans réserve, fidèle soutien de chaque étape professionnelle. Maryline s’est éteinte en juin 2020 (selon la presse, des suites d’une crise cardiaque), et a été inhumée à Saint-Gatien-des-Bois dans le Calvados. William Leymergie, très discret sur sa vie privée, n’a jamais pris la parole publiquement sur ce deuil.Maryline Leymergie : portrait et repères biographiques
Portrait
Repères biographiques
Maryline Leymergie, née Maryline Robin, fut une femme de l’ombre à la présence lumineuse : compagne de longue date de William Leymergie, mère de trois enfants et sculptrice passionnée, elle a laissé une empreinte délicate, faite de discrétion, de bienveillance et de créativité. De leur rencontre dans les années 1970 à leur mariage en 1975, de son rôle de pilier familial à son élan artistique, jusqu’à sa disparition en juin 2020 — selon plusieurs médias, des suites d’une crise cardiaque — ce portrait rassemble ses repères biographiques, ses passions et les échos de ceux qui l’ont connue.
Une personnalité discrète, une empreinte forte
On évoque souvent Maryline Leymergie comme une présence calme, apaisante et résolument discrète. Dans l’univers médiatique foisonnant qui entoure le parcours de son époux, elle a cultivé un art précieux : celui de soutenir sans s’exposer, d’accompagner sans s’imposer. Cette élégance du retrait, loin de la faire passer au second plan, a au contraire façonné son rayonnement, celui d’une femme à l’écoute, exigeante et essentielle.
Sa force tranquille s’exprimait dans la vie de famille comme dans les projets qui comptaient. Ceux qui l’ont approchée parlent d’une intelligence sensible, de mots choisis, prononcés quand il le fallait, et d’une capacité rare à créer la confiance autour d’elle.
Repères biographiques essentiels
Origines et identité
Connue du grand public sous le nom de Maryline Leymergie, elle est née Maryline Robin. Plusieurs notices biographiques en ligne situent sa naissance en 1950, un repère repris notamment par des profils dédiés à sa trajectoire et à celle de son époux. Pour approfondir, on peut consulter des fiches consacrées à sa biographie et à ses repères d’état civil sur des sites comme Gala, Voici ou des annuaires biographiques en ligne, à l’image de cette référence.
Mariage et famille
Le destin de Maryline croise celui de William Leymergie au début des années 1970. Leur union, célébrée en 1975, ouvre un chapitre de 45 ans de vie commune. Ensemble, ils élèvent trois enfants — Géry, Sacha et Anna — dans un cocon où la complicité et le sens du partage tiennent lieu de ligne de conduite. La famille est leur point d’ancrage, leur « routine incontournable » pour garder le cap, malgré des agendas souvent très remplis.
Dernières années et disparition
Maryline Leymergie s’est éteinte en juin 2020. Plusieurs médias évoquent un décès survenu des suites d’une crise cardiaque, une information reprise et détaillée par la presse magazine. Pour en savoir plus, on peut lire les articles de Pleine Vie et de Planet, qui retracent les circonstances et les hommages.
L’art comme respiration : la sculptrice
Une vocation patiente, puis affirmée
Passionnée par la sculpture, Maryline se consacre d’abord pleinement à sa famille avant d’affirmer, au cours des années 2000, un geste artistique qui lui ressemble : précis, sensible, attentif aux matières et aux textures. Elle prend des cours, affine ses techniques, travaille la patine avec une exigence artisanale qui séduit son entourage.
Dans son atelier, elle façonne des pièces dont la surface raconte la lenteur du temps et le dialogue entre les mains et la matière. Un art de la nuance, jamais frontal, fidèle à sa personnalité.
Techniques et inspirations
Ce qui marque chez Maryline, c’est l’amour du détail. La patine, qu’elle envisage comme la peau d’une sculpture, révèle les reliefs et les histoires qu’ils portent. Les thèmes restent intimes : silhouettes, visages, mouvements suspendus… Elle apprécie ces figures à la lisière du réel, comme si chaque œuvre chuchotait son secret bien gardé.
Un couple en symbiose
Le soutien au long cours
À la maison comme dans la vie publique, Maryline Leymergie constitue un appui décisif pour son mari. Elle l’encourage dans ses grands tournants, notamment lorsqu’il rejoint C8 après de longues années à la tête de Télématin. Les médias ont souvent souligné ce duo soudé, où chacun encourage les ambitions de l’autre. À l’inverse, lui se disait prêt à se faire « agent » pour accompagner l’exposition et la vente de ses œuvres – une façon tendre de valoriser son talent.
Dans ce tandem, l’équilibre est clair : d’un côté, la lumière des studios ; de l’autre, la douceur créative d’un atelier. Et au milieu, la famille comme boussole.
Des repères médiatiques pour approfondir
Pour celles et ceux qui souhaitent contextualiser le parcours du couple et celui de Maryline, plusieurs portraits et biographies détaillent ces repères : la fiche de Gala, la biographie de Voici, ou encore les articles rétrospectifs de Pleine Vie et de Planet, utiles pour croiser les informations et enrichir les repères biographiques.
Vie privée et choix de discrétion
Si Maryline inspire le respect, c’est aussi pour son choix de discrétion. Elle privilégie l’intimité, préservant la sphère familiale de l’agitation médiatique. Cette pudeur ne dit pas l’absence ; elle dit le soin de ne pas surexposer, de protéger ce qui compte. Un trait de caractère qui traverse les récits et que soulignent encore de nombreuses bios et portraits publiés ces dernières années.
Cette réserve explique sans doute pourquoi on dispose de peu de confidences directes : l’essentiel affleure par petites touches, dans les témoignages et articles qui lui sont consacrés, et dans le regard que portent sur elle ceux qui l’ont admirée au quotidien.
Un héritage sensible
Ce qui reste
De Maryline Leymergie, il reste le souvenir d’une femme intègre, d’une mère très présente, d’une artiste méticuleuse. Ses œuvres, ses gestes et sa manière d’être continuent de vivre dans la mémoire des siens et dans les textes qui retracent son parcours. Des synthèses biographiques, comme celles publiées par Planet ou Pleine Vie, permettent d’en garder les repères biographiques essentiels, tandis que Gala et Voici prolongent la découverte de son univers.
Qui était Maryline Leymergie (née Maryline Robin) ? Dans cet article, je vous propose un portrait sensible et des repères biographiques précis : sa rencontre avec William Leymergie, leur amour de 45 ans, sa passion de sculptrice, les dates clés de sa vie, ainsi que des conseils et astuces pour approfondir son histoire grâce à des sources fiables. Une lecture “must-have” pour comprendre une femme discrète, inspirante et essentielle dans le parcours de l’animateur de C8.
Figure de l’ombre, Maryline Leymergie a guidé, apaisé et inspiré. Épouse de l’ex-présentateur de Télématin et désormais visage de C8, elle a choisi la discrétion et la force tranquille. Au-delà de la vie publique de son mari, Maryline s’est affirmée par sa créativité et sa sensibilité artistique, notamment à travers la sculpture, devenue son terrain d’expression privilégié dans les années 2000.
Rencontre et amour au long cours
Leur histoire démarre au début des années 1970, lors d’un dîner entre amis. Le coup de cœur est immédiat. Ils se marient en 1975 et ne se quitteront plus. De cette union naissent trois enfants, Géry, Sacha et Anna, cœur battant de leur famille. Pour retracer ces débuts et le fil de leur romance, plusieurs médias reviennent sur leurs confidences à l’époque, comme Programme TV ou encore Legit.ng.
Un tempérament discret, un soutien majeur
Maryline, c’est l’exemple même de la présence précieuse : calme, souriante, posée, elle a été un repère pour son mari et leur tribu. Elle a longtemps privilégié la vie de famille, sans jamais chercher la lumière. Cette discrétion a nourri une relation solide, où chacun évoluait à son rythme, en parfaite symbiose.
La sculptrice : une passion affirmée
Dans les années 2000, Maryline ose un virage créatif : elle prend des cours, perfectionne ses techniques et développe un univers sculptural singulier. William lui-même confiera avoir envie de devenir son “agent”, prêt à vanter la patine et la modernité de ses œuvres. Cette page artistique fait de Maryline une sculptrice à la sensibilité marquée, un “secret bien gardé” qui a doucement éclot avec le temps.
Dates et lieux clés à connaître
Née en 1950, Maryline s’est éteinte en juin 2020. La presse a rapporté un décès survenu le 25 juin 2020, des suites d’une crise cardiaque, et une inhumation au cimetière de Saint-Gatien-des-Bois, dans le Calvados (selon Femme Actuelle, Closer et Purepeople). William Leymergie, fidèle à sa discrétion, ne s’est pas exprimé publiquement sur ce deuil.
Conseils et astuces pour explorer son histoire
Les infos must-have et la routine incontournable
Pour un portrait juste, adoptez une routine incontournable en trois temps. D’abord, rassemblez les sources qui détaillent la vie de Maryline : sa rencontre avec William, leur mariage en 1975, la naissance de leurs enfants, son virage vers la sculpture. Ensuite, identifiez les témoignages et interviews où le couple évoque leur quotidien et leurs projets. Enfin, recoupez les dates et précisions biographiques afin de dégager une ligne du temps claire.
Astuce beauté éditoriale : vérifier et croiser les sources
Mon “astuce beauté” version journalisme : multipliez les points de vue. Pour les repères factuels, consultez Femme Actuelle et Closer. Pour enrichir le portrait, lisez Programme TV et Legit.ng. Pour le contexte autour du deuil et la place de Maryline dans la vie de l’animateur, ajoutez Purepeople. Croiser ces sources, c’est le “must-have” pour éviter les approximations.
Secret bien gardé : préserver la mémoire familiale
Si vous souhaitez parler de Maryline, gardez en tête son goût de la discrétion. Privilégiez les faits établis et les éléments qu’elle a choisis de partager : sa passion pour la sculpture, son rôle de mère et de pilier, sa relation complice avec William. Mettre l’accent sur ses réalisations artistiques et la tendresse de son histoire d’amour, c’est honorer sa mémoire avec élégance.
Repères biographiques express
Nom : Maryline Robin (dite Maryline Leymergie). Naissance : 1950. Union : mariée à William Leymergie en 1975. Enfants : Géry, Sacha, Anna. Métier/Passion : sculptrice (formation et pratique développées dans les années 2000). Décès : 25 juin 2020, suite à une crise cardiaque rapportée par la presse. Inhumation : cimetière de Saint-Gatien-des-Bois, Calvados (sources : Femme Actuelle, Closer, Purepeople).
Pourquoi son histoire résonne encore
Parce qu’elle incarne ces destins discrets qui font les grandes trajectoires. Derrière l’animateur phare de la télévision, Maryline a été une alliée, une créatrice et une âme sensible. Conserver ses repères biographiques et raconter son parcours avec justesse, c’est prolonger la trace d’une femme dont la force tranquille a marqué ceux qui l’ont connue.
Je m’appelle Esmeralda, et je suis une blogueuse passionnée ainsi que rédactrice en chef de ce magazine en ligne. Originaire de Paris, j’ai étudié le journalisme à la Sorbonne avant de me lancer dans le monde des médias numériques. Avec un œil affûté pour les tendances, je partage mon expertise en mode, beauté, bien-être et développement personnel. À travers mes articles et mes conseils pratiques, j’aspire à aider les femmes à vivre pleinement et à s’épanouir dans tous les aspects de leur vie.